Quelque 150 salariés se sont invités mardi à l’entrée de l’assemblée générale des actionnaires de France Télécom, alors que l’opérateur historique devait officiellement entériner son changement de nom pour « Orange », a constaté une journaliste de l’AFP.
Le rassemblement dans le hall du Palais des Congrès à Paris était à l’initiative d’une intersyndicale (CFDT, CFE-CGC/Unsa, CFTC, CGT et SUD), et visait à défendre « les emplois, les salaires et les investissements plutôt que les dividendes ».[…]
Du côté de la CFE-CGC/Unsa, Patrice Brunet [NDLR : également Président de l’ADEAS] a cité un autre sujet de préoccupation: « Le retrait prochain de la participation de l’État« , qui vendrait quelque 5% du capital. L’État détient actuellement 27%.
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