En 2017, Orange lancera son service bancaire. Un pari à haut risque pour l’opérateur historique, qui voit dans la banque de nouvelles sources de revenus. Ambitieux, le projet a pourtant reçu un soutien mitigé de la part de son premier actionnaire, l’Etat, détenteur de 23 % du capital. Selon nos informations, ses administrateurs n’ont pas voté en faveur d’Orange Bank lors de son examen en conseil d’administration. Stéphane Richard, le PDG d’Orange, qui avait présenté en amont le projet au ministère des finances et à l’Agence des participations de l’Etat (APE), bras armé de l’Etat actionnaire, pensait pourtant les avoir convaincus.
Source : Les contradictions de l’Etat mettent Orange à rude épreuve
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Il y a un cancer en France, c’est l’état.!
Entre un Macron qui n’a pas voulu d’une concentration des opérateurs, un Sapin qui n’a pas voulu peiner le lobby bancaire, et un Etat qui pompe gaillardement les dividendes d’Orange…. Y’en a un peu marre de toute cette clique.